4 - Un refuge...

Une fois a l'interieur, vous voyez qu'il s'y trouve divers petites pieces. Au moins deux avec des lits superposes, une avec des livres dans une sorte de bibliotheque, une avec une table et des chaises et une cuisiniere. Elles sont toutes liees a la piece centrale et principale. D'ailleurs cette piece centrale est plutot de forme ronde. Au plafond de cette piece se trouve une sorte de verriere ronde d'ou vient la lumiere. Une lumiere diffuse de mille couleurs. Vous ne comprenez pas pourquoi ni comment. Le sol de cette piece circulaire est fait de pierre, mais en son centre se trouve aussi une verriere ronde, bien plus petite et qui recoit les belles couleurs lumineuses du plafond.

Ameno semble tres surpris de voir un lieu comme ca sous Londres. Tandis que Frank, tout en prenant son carnet pour y noter divers choses, examine les divers parois. Le singe est descendu des epaules de son maitre pour aller regarder la verriere sur le sol.
Quand a l'esprit, il sourit et semble pensif.

Je suis toute aussi ébahie que mes compères ! Si je m'attendais à ça ? Moi qui pensait qu'il nous mènerais dans un réservoir condamné des égouts ou quelque chose du genre... En fait, ça a l'air trop beau pour être vrai. Tout à coup très méfiante, mes sens naturels et magiques aux aguets, je demande à l'esprit : " - Et vous voulez bien nous préter cet endroit quelques temps ?"

-"Bien sur que je vous le prete. C'etait mon refuge de mon vivant. Je suis mort je vous rappelle. A quoi me servirait il? Au fait, ne tentez pas de decouvrir pourquoi ces lumieres au plafond et au sol et faites attention a certains livres de la bibliotheque. C'est un conseil comme un autre."

Il commence a s'en aller, doucement, tout en se retournant et avec un signe de la main vers le haut afin de saluer. Sa materialite se dissout petit a petit.

Ameno dit alors:
-"Je ne vous avais pas dit que c'etait un ancien mage de Lond'es?"

Je salue le fantôme et fais non de la tête à la question d'Ameno.

"- Bon ! On l'a notre refuge !" dis je de manière volontaire. "Est ce que maintenant on peut se pencher sur la maison aux mystères ?" demandais-je, sur le ton de la provocation à ces vieux croutons obsédés par la sécurité.

Puis, sur un ton plus neutre, je propose :

" - Vous, vous avez qu'à faire le tour du propriétaire et d'assurer le nid, et moi je vais chercher Macbidule pour se mettre d'accord sur un plan d'action : On pourrait la visiter cette nuit, cette maison ?! Qu'est ce que vous en pensez ?"

Frank te repond en premier.
-"En meme temps, on est de nuit maintenant. Peut etre pas l'heure d'une viree nocture, mais on peut faire cela ce soir."

Il sort la petite boite vite et l'ouvre.
-"Si seulement je savais ce qu'elle contenait... Je n'ai jamais rien vu de tel... Si j'avais au moins un indice pour savoir a quoi cette boite peut aussi servir, ca me mettrais sur la voie..."
En remettant ses lunettes, il prends son carnet de notes et son stylo puis y note divers choses, perdu dans ses pensees.

Ameno quand a lui te reponds.
-"Oui, vas y. Ap'es tout, il peut nous et'e d'une g'ande aide. Je vais 'ega'de' un peu ce qu'il y a ici. Desole d'avoi' oublie de te le p'eciser, mais j'ai demande un ancien mage puissant. Peut et'e t'op puissant non?"

Déjà, je m'apprête à partir, mais la réponse d'Ameno me stoppe net. Je me retourne les yeux surpris... Je suis une jeune mage et ma sphère principale est l'Esprit. Mais curieusement, il y a des pans entier de ce domaine que je n'ai jamais appréhendé : Comme l'esprit des morts par exemple...

Je fixe Ameno qui peut alors contempler l'illumination chez moi, sa petite Zara : On peut aussi parler et appeler les morts ! J'en reviens pas ! Jusque là, j'ai appelé les esprits élémentaires qui m'entourent... Jamais les morts...

Je secoue la tête : Je me pencherais sur cette question plus tard : Je vais chercher MacDougall

Tu sors donc doucement et surement de ton nouveau repaire et tout en te souvenant de ton parcours a faire, tu fais le point sur ce qui est arrive.
Une fois dehors, tu te diriges vers l'hotel ou se trouve Conrad.

[HJ: le contactes tu par telephone? penses tu l'emmener dans le refuge? en gros tu comptes faire quoi exactement vis a vis de Conrad? /HJ]

Je compte appeler Conrad, lui donner rendez vous dans un endroit assez proche du refuge et l'emmener au refuge discuter d'un plan d'investigation de la maison du fils de l'éther qui nous séquestrait.

En chemin, je songe à ce que je vais lui dire et l'imagine...

" - Allo ? M'sieur MacLeod ? C'est Zara... On a trouvé une planque et on est prêts à fouiner dans les maisons... Vous pouvez me rejoindre à telle rue ? J'vous attends... Faut qu'on s' mette d'accord... "

Tu sors donc des egouts et termine tes songeries. Puis tu sors ton telephone portable et compose son numero de telephone.

En fait pas tout à fait... Je n'ai pas de portable... Pourquoi faire ? Je rentre dans une cabine publique et j'appelle depuis là... ^^^Mais sinon oui, c'est ça

Une voix masculine au téléphone chargée d'une certaine autorité.

- Mac Dougall à l'appareil, j'écoute ! A qui ai je l'honneur ?

Je croise les doigt en espérant que ce n'est pas la police pour l'affaire de ce soir.

Je sens comme une tension dans la voix de Conrad... Ah ! ces vieux ! ça s'angoisse pour un rien ! ça me fait sourire et je laisse un petit blanc avant de parler :

" - Salut ! MacLeod !!! C'est Zara !" ajoutè-je innocemment comme si d'autre personne se permettait de l'appeler ainsi ! " on s'est posé ! Maintenant on est prêts à fouiller la maison. Tu nous rejoins ? Pour qu'on monte le coup ?"

Je regarde autour de moi et repère un nom de rue : " - T'as qu'à me rejoindre dans Wellington Street ?! Je t'attends !" Puis impatiente de le revoir, je raccroche sans même attendre sa réponse...

- O-K ... Elle est rigolote zora mais elle pourrait vite devenir fatiguante.

Dis tout seul en raccrochant le téléphone
Je ne réfléchis pas beaucoup puisque cette histoire à tendance a m'interroger. Je prends mon sac ( contenant mes foci ), ma lame que je pose sur le lit et je m'en vais enfiler une tenue plus sombre que mon kilt et mon blazer.

* Bon et bien on va peut être marcher ensemble finallement. *

La suite par LA

Je le dis parce que c'est par hasard que j'ai vu la suite